Ce qui est chouette quand on a des amies foodies, c’est que leurs tiroirs sont pleins de bonnes recettes à partager. Par contre, quand elles n’ont pas de blogue (eh! oui! je suis la seule blogueuse de ma gang), leurs spécialités se font des délices d’initiés. Alors, je me suis donné pour mission de vous les présenter, ces choupettes aux casseroles plus clinquantes que leurs jewels.
Voici donc la copine Catherine Sicotte, une «cutive» ou exécutive comme on dit en pub, ce dont je ne lui tiens pas rigueur, lol. En fait, bizarrement, toutes mes meilleures copines sont des cutives et non des créatives (traduction: d.a., rédac et cie). J’apprécie, voire je recherche, leur côté rationnel, qui se mâte tout de même de l’artisterie nécessaire à ce métier où on n’aboutirait à rien sans la rencontre des deux clans.
Si je suis la rédac culinaire du groupe, la vérité est que Catherine peut, contrairement à moi, vous improviser un souper sushi qui ne détonnerait pas dans un super resto japonais. Je n’ai tellement pas cette patience! Bref, elle m’a gentiment confié cette première recette en me disant:
«J’ai tellement cherché pour une recette l’an dernier, j’en ai trouvé plein, mais il me semble qu’aucune ne répondait exactement à ce que je cherchais. Je voulais que ça goûte la Côte Est!
Alors j’ai créé celle-ci. Qui est vraiment top – dans mon échelle de goût du moins. C’est pas le truc le plus joli sur assiette, mais c’est tellement la bonne affaire pour le palais!»
Cat, je n’en doute même pas…
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Blogueuse invitée: Catherine Sicotte
Il fait gris, il fait froid, mais le bonheur est dans les casseroles. Fini les grillades et les salades, l’automne a cela de bon qu’il nous ramène les rôtis, les braisés, les repas confort qui réchauffent l’âme. Pour moi, il n’y a rien de tel qu’une bonne chaudrée de palourdes pour goûter la mer en attendant les prochaines vacances.
Après avoir glané à gauche et à droite pour trouver LA recette – tout le monde a son opinion sur la chose — j’en suis venue à créer celle-ci, qui remplit toutes ses promesses de confort à pleines cuillères, de riches saveurs et de gros gros bonheur.
Le choix des palourdes est clé: à défaut de palourdes fraîches, je choisis les Mactres de Stimpson en conserve qu’on retrouve en poissonnerie. Pour le goût et la texture, elles sont top. Et on ajoute leur jus à la chaudrée pour encore plus de saveur!
Un petit truc: préparez-la à l’avance, elle est encore meilleure quand on la réchauffe 2-3 jours plus tard!
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